Née le 17 août 1948.
Colette di MATTEO, Inspectrice des Monuments historiques, et conservatrice générale du Patrimoine (aujourd’hui Conservatrice générale honoraire du patrimoine).
Née le 17 août 1948.
Colette di MATTEO, Inspectrice des Monuments historiques, et conservatrice générale du Patrimoine (aujourd’hui Conservatrice générale honoraire du patrimoine).
Née en 1959.
Conservatrice générale du patrimoine et inspectrice générale des monuments historiques, Marie-Anne SIRE est chargée des régions Auvergne-Rhône-Alpes, Centre-Val de Loire et Occitanie, et de la Villa Médicis et des Pieux Établissements à Rome (Église et couvent de Saint-Louis des Français, Église et couvent de la Trinité des Monts, Église Saint-Nicolas des Lorrains, Église Saint-Claude -Saint André des Francs Comtois de Bourgogne, Église Saint -Yves des Bretons et Chapelle de Lorette).
Membre du conseil scientifique mis en place en 2020 par l’Établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre- Dame de Paris.
Auteur notamment de « la France du Patrimoine, les choix de la mémoire » (Découvertes Gallimard), et du Guide pratique des trésors d’églises (éditions du Patrimoine).
Marie-Anne SIRE a coordonné l’ouvrage collégial « Trésors des Cathédrales » publié en 2018 par les Éditions du Patrimoine.
Source : https://jeuxfloraux.fr/mainteneurs/madame-marie-anne-sire/
Né en 1964
Acteur engagé au service des politiques publiques du patrimoine, Jean-Michel Loyer-Hascoët était jusqu’à présent adjoint au directeur général des patrimoines et de l’architecture, chef du service du patrimoine après avoir été sous-directeur des monuments historiques et des espaces protégés.
Dans le cadre de ces fonctions, il a notamment assuré la tutelle du laboratoire de recherche des monuments historiques (LRMH) et du département des recherches archéologiques subaquatiques et sous-marines (DRASSM), partenaires majeurs du C2RMF au sein de la direction générale des patrimoines.
En tant que chef du service du patrimoine, il a contribué à la définition des politiques de recherche dans le domaine des sciences du patrimoine et de l’archéologie, et aux travaux de la direction générale et de ses opérateurs en matière de conservation et de restauration des patrimoines. Fort de cette expertise, Jean-Michel Loyer-Hascoët succède le 1er août 2021 à Isabelle Pallot-Frossard qui a fait valoir ses droits à la retraite au terme d’une carrière exemplaire au service du patrimoine.
Il fédère ainsi désormais les équipes du C2RMF autour de projets scientifiques et patrimoniaux interdisciplinaires et veille à maintenir le niveau d’excellence de l’établissement en liaison avec l’ensemble de ses partenaires nationaux et internationaux.
La nomination de Jean-Michel Loyer-Hascoët permet ainsi au C2RMF de poursuivre ses missions au service des musées de France et de la recherche.
Né le 24 novembre 1937, à Paris
Petit-fils d’un professeur d’histoire de l’architecture, une discipline qui, selon lui, a déterminé sa passion pour l’architecture antique, Jean-Pierre Adam commence un cursus histoire de l’art à la Sorbonne, puis se concentre sur l’architecture. Après un diplôme de l’École spéciale d’architecture (1965), Jean-Pierre Adam entre au service d’architecture antique du CNRS. Il réalise plusieurs études monumentales en France et dans le monde, et occupe le poste de directeur du bureau d’architecture antique de Paris de 1972 à 2003.
Également archéologue, il réalise diverses études architecturales sur des chantiers de fouille de différents sites du pourtour méditerranéen dont celui de Pompéi.
Il enseigne ensuite à l’École du Louvre et à l’École de Chaillot, ainsi qu’à l’Institut des Beaux-Arts du Liban, à l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et à l’École d’architecture de la ville & des territoires Paris-Est.
Il est membre du comité de parrainage scientifique de l’Association française pour l’information scientifique (AFIS) et de sa revue Science et pseudo-sciences.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Adam
Discours d’entrée lors de la réception confraternelle MH du samedi 2 décembre 2023 (pdf)
Née en 1931 ; décédée en 2009.
Anne PRACHE a été un professeur émérite d’histoire de l’art du Moyen âge à l’Université de Paris IV-Sorbonne (en 2002), vice-présidente du Comité international du Corpus vitrearum (en 1993).
Elle est surtout connue pour son travail sur la sculpture et l’architecture médiévale française. Le professeur Prache a servi comme directeur de l’ACMV français entre 1980 et 1997 et en tant que vice-président de l’ACMV International entre 1987 et 1995.
Source : http://www.babelio.com/auteur/Anne-Prache/86059
Né le 19 novembre 1936, à Amiens.
2005 : Prix Eugène Carrière pour L’Art de France. De la Renaissance au Siècle des Lumières 1450–1770.
Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, docteur ès lettres, directeur de recherche au CNRS, Jean-Marie Pérouse de Montclos fut le premier chercheur recruté pour l’Inventaire général du patrimoine culturel de la France lors de sa création en 1964 par André Malraux et André Chastel. Il prend alors la responsabilité des recherches scientifiques et documentaires de l’Inventaire général, en coordonne la méthode et le vocabulaire, et en préside la commission nationale.
Il enseigne à l’école de Chaillot et à l’école du Louvre. Auteur de nombreux articles et de plusieurs ouvrages sur l’architecture de l’époque moderne, il est membre de l’Académie d’architecture et du conseil scientifique du Centro internazionale di studi di architettura Andrea Palladio (CISA Palladio).
Il est le père de Marc-Antoine Pérouse de Montclos, spécialiste de la géopolitique des conflits en Afrique sub-saharienne et enseignant à Sciences Po Paris.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Pérouse_de_Montclos
Né le 17 novembre 1931 dans le VIe arrondissement de Paris.
Jean-Pierre Babelon entre en 1950 à l’École nationale des chartes où une thèse intitulée La demeure parisienne sous Henri IV et Louis XIII lui permet d’obtenir le diplôme d’archiviste paléographe (1954). Il est alors nommé archiviste-adjoint aux Archives départementales de Seine-et-Oise et chargé de mission au château de Versailles, alors qu’il poursuit ses études à l’École du Louvre.
La majeure partie de sa carrière se passe aux Archives nationales comme conservateur du Musée de l’histoire de France, puis conservateur en chef de la section ancienne (1957-1978-1985).
Il poursuit parallèlement ses recherches, en tant que maître de conférence à l’École pratique des hautes études (1969-1985) : J.-P. Babelon travaille sur la France moderne, particulièrement la période des Guerres de religion. Il est notamment un spécialiste de l’architecture de ce temps et du bâti parisien. Il n’abandonne ce poste qu’en 1985, quand il est nommé inspecteur général des Archives de France.
De 1989 à 1996, il dirige le château de Versailles avec le titre de directeur du musée et du domaine national de Versailles et de Trianon puis de directeur général de l’Établissement public du musée et du domaine de Versailles.
Il est élu membre de l’Académie des inscriptions et belles-lettres en 1992 et a, à ce titre, été chargé de la conservation du musée Jacquemart-André puis de l’abbaye de Chaalis.
En 2010, il travaille avec le prince Louis de Bourbon pour la ré-inhumation de la tête présumée du roi Henri IV dans la nécropole royale de la Basilique Saint-Denis. Selon lui, Nicolas Sarkozy prévoit initialement une cérémonie pour mai 2012. Cependant, la controverse autour de la relique et la campagne présidentielle repoussent la date de la
célébration, puis le projet est ensuite abandonné par François Hollande.
Fondateur et ancien associé du Bureau Michel Bancon
Ingénieur ETP (B 46)
C.E.S.H.C.M.A. Auditeur 1971/1973
Expert honoraire près la Cour d’Appel et le Tribunal Administratif de PARIS Expert National honoraire agréé par la Cour de Cassation
Michel Bancon a œuvré pendant près de 40 ans avec son équipe, essentiellement dans le domaine de la conservation et de la restauration des ouvrages existants de tous types en maçonnerie ancienne dont, plus particulièrement, les monuments historiques. Il a été également concerné par les constructions existantes en béton armé, pour leur restauration et leurs modifications structurelles.
Spécialisé dans l’intervention sur les constructions existantes, il est intervenu à la demande de maîtres d’ouvrages publics, de collectivités territoriales, de syndics d’immeubles, d’entreprises, de propriétaires de bâtiments anciens, le cas échéant, inscrits ou classés.
Il est intervenu également à la demande d’architectes et de maîtres d’œuvre, afin de les assister dans le cadre de leur propre mission.
Aujourd’hui encore, les références du Bureau Michel Bancon couvrent tous les types de construction en maçonneries anciennes : monuments nationaux, cathédrales, abbayes, églises, châteaux, remparts, musées, théâtres, immeubles, soutènements, ponts, réservoirs, cheminées d’usine…
Source : http://www.bancon.fr/index.html